Le risque et le cinéma sont 2 mots qui vont souvent de pair et qui offrent de fait, une opportunité intéressante pour les événements d’entreprise.
Les ateliers du court-métrage, pionniers du team building cinéma en savent quelque chose puisqu’ils sont les seuls à avoir fait le choix de mettre en avant la pratique cinématographique, telle qu’elle existait dans les années 20.
Autrement dit, le cinéma muet.
En 2010, l’atelier CINEMATOGRAF fait ses débuts sur le salon Heavent, et on le propose parmi les candidats au prix du team building le plus innovant.
Certains membres du jury s’en amusent et bien entendu, le prix ne nous a pas été attribué.
2011, le film The Artist remporte l’Oscar du meilleur film, notre atelier CINEMATOGRAF connait alors un succès spectaculaire sur le marché de l’événementiel.
Alors qu’à cette époque, le monde de l’événementiel ne jurait que par les tablettes numériques, l’arrivée d’un film muet au sommet du box office fit écho à notre choix audacieux.
Le résultat ne se fit pas attendre : la majeure partie des 400 films produits chaque année par les Ateliers du court-métrage ressemblent à ceux de C. Chaplin ou B. Keaton
Produire une offre de divertissement vintage est certes risqué mais notre engagement à faire de cet atelier un support d’animation ludique et créatif avec un résultat qui dépasse la plupart des ateliers vidéo existants sur le marché de l’incentive, permet à nos clients de faire ce choix sereinement.
La pratique du scénario et l’apprentissage du burlesque avec beaucoup de sérieux, permettent également de jouer avec les sujets brulants de l’entreprise tout en y apportant beaucoup de sens et de valeur ajoutée.
Au delà l’image usée et en noir et blanc des films produits, les décideurs découvrent qu’une histoire universelle a d’avantage d’effets sur les équipes qu’un sketch filmé qui doit retranscrire un entretien de vente.
Les participants aux séminaires se sentent valorisés par l’image et l’histoire qu’ils ont raconté. Tout le monde joue la comédie aussi bien que Jean Dujardin car les dialogues ne sont pas à retenir.
Les thèmes les plus courus sont évoqués de façon insolite: une intrigue sortie tout droit des années 20 parle de compétition, de performance, d’innovation ou de RSE.
Comme tout manager qui se respecte, le réalisateur d’un film doit montrer le chemin à son équipe pour que le tournage se déroule sereinement.
Dans le cadre d’un team building cinéma tel que nous l’avons imaginé, c’est à l’équipe de s’emparer du rôle de réalisateur même si l’un des membres se voit attribuer le poste.
Avec cette pratique collective on peut apercevoir des comportements intéressants parmi les participants.
Dans la mesure où le projet de réaliser un film devient celui de tout un groupe, la notion d’engagement se diffuse et se transforme en prise d’initiatives individuelles mais solidaires.
Et ce qui était au départ perçu comme le défi artistique d’un seul “homme” devient l’oeuvre collective d’une équipe, bien souvent très enthousiaste parce que mobilisée et concernée à 100% par le projet.