Mai, mois des premiers pas sous un soleil radieux, mois des team building heureux !
Mais avant de partir faire son cinéma dans les rues de Paris, de Deauville ou de Barcelone, on pense à Cannes bien sûr, et à son Festival.
On pense aux étoiles montantes qui seront révélées à l’issue de la compétition même si cette année, les “cinéastes palmés ou récompensés” sont légion (Jarmusch, Loach, Dardenne, Dolan, Malick, Almodovar ….)
A Cannes, on repense à Claude Lelouch qui, en 1966, gagnait sa Palme d’or avec “Un homme et une femme”.
Nous en avons fait un mannequin challenge express en avril dernier à l’occasion du workshop Barrière organisé cette année, à l’Elysée Biarritz et ça donne ça !
Mai, c’est le mois du renouveau et les publicitaires le savent bien en redoublant d’imagination pour nous séduire, nous convaincre d’acheter la dernière cafetière à la mode ou le nouveau poste radio toujours plus performant.
En 1950, on appelait ça la réclame, c’était l’âge d’or de la publicité. Récemment la série MAD MEN a largement contribué à nous éclairer sur cette époque heureuse (en apparence) et inconsciente, où la consommation avait encore le vent en poupe.
Les créatifs étaient les rois du monde, ils paradaient comme des petits coqs, fumaient comme des sapeurs, prenaient l’apéro trois fois par jour… Leurs messages nous disaient tous la même chose : pro-fi-tez ! Con-som-mez !
C’est aussi et surtout l’émergence et la consécration du marketing, 1960, les grands débuts de la publicité à la télévision.
Et c’est à cette époque que nous nous sommes intéressés pour créer notre atelier CINEPUB50TH.
Oui, car nos clients comprennent que la forme (noir et blanc, costumes, objets, accessoires) permet de gommer les imperfections d’une production “express”, que les années 60 donnent un cadre et une esthétique qui valorisent le travail des équipes.
Oui, car le team building cinéma nécessite un filtre et des contraintes pour pouvoir être réalisable en 3 heures, et pour ensuite proposer, lors de la diffusion, des créations collectives réussies sur le fond et la forme. C’est notre parti pris depuis 10 ans.
Oui, car la narration dans les années 60 correspondait d’avantage à celle d’un court-métrage, il y avait plusieurs personnages, et une histoire ou plusieurs histoires très scénarisées.
Oui, car cette forme correspond parfaitement à nos besoins d’animation. Il y a, de cette façon, plus de temps pour tout le monde (scénariste, réalisateur, acteur, techniciens). La participation est plus large, l’atelier est plus dynamique et plus ludique.
Oui, enfin, car l’objet, comme l’image au cinéma, permet de faire la publicité d’un service abstrait sous une forme concrète, comme par exemple :
ROBOT MIXEUR / la mixité, la modification d’un organigramme
TELEPHONE / les synergies nécessaires, le besoin de mieux communiquer
LOTION CAPILLAIRE / simplifier les process
REVEIL / être réactif, savoir prendre les décisions au bon moment
Alors convaincu ?!
Joyeux mois de mai à tous et surtout, pensez à écouter du jazz, ça rend plus heureux encore que d’acheter une nouvelle radio !