Sans doute une année décisive pour le cinéma américain à Deauville ? 15 films en compétitions et pas un bloc booster, mais bien au contraire, des films exigeants qui proviennent pour la plupart du cinéma indépendant.
Comme par exemple ce nouveau film de Michel Gondry « the we and the I », tourné à New York qui évoque l’adolescence et ses facettes cachées lors d’un voyage scolaire.
C’est certainement Sandrine Bonnaire, la présidente du Jury, qui a incité les organisateurs à repenser leurs habitudes et grand bien lui fasse ! Car la magie est au rendez vous : ce cinéma nous fait rêver, nous fait rire et pleurer ! Deauville sera demain un festival attendu des cinéphiles comme peuvent l’être Cannes, Venise ou Berlin.